<< Rencontre Bourges basket - Sopron du 11 novembre 2009 >>
BOURGES BASKET
http://www.bourgesbasket.com
Sopron (Féminine)
Fiche d'identité
Nom officiel MKB Euroleasing Sopron
Pays Hongrie
Ville Sopron
Année de fondation 1921
Site officiel http://www.wb-sopron.com/
Salle Mkb Arèna Sopron
Président Zoltan Török
Adresse wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/MKB_Euroleasing_Sopron
Adresse postale Raabersport Kft Lackner Kristóf u 48, 9400 Sopron
<< BOURGES BASKET - SALAMANQUE le 5 février 2010 à Bourges >>
Match retour en 8ème de finale de la coupe de l'Euroligue.
Ces quelques photos pour oublier l'échec à Salamanque le 10 février 2010,mais quel match !
Le Berry Républicain par la plume de Christian Ragot , le jeudi 11 février,commente :
"Cette fois ,les Tango ont tout donné et fait honneur au Bourges basket mais plombées par les fautes,elles n'ont pu défendre leurs chances jusqu'au bout alors qu'elles avaient maîtrisé le match jusqu'à la dernière ligne droite ( 40-41 ,30è) .
Bravo les filles !
http://www.bourgesbasket.com
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<< Oiseaux de France et d'ailleurs (12) >>
A L'OMBRE D'UN CHEMIN CREUX
C'est un chemin creux comme bien d'autres, néanmoins si vous
l'empruntez il ne vous mènera nulle part.
Il se fraye un passage parmi les ronces qui ont envahi ses bas-côtés,
l'aubépine y côtoie l'églantine dont les fruits charnus éclataient de
couleur sous le soleil généreux de cet après-midi d'automne.
Les cardères s'y dressent, droites et fières...Et là, dans l'une des
nombreuses ornières creusées à sa surface est restée l'eau des
dernières pluies. L'eau, source de vie, bonheur des oiseaux de ce jour.
Je me suis arrêtée pour les regarder s'ébrouer, oh, des espèces bien
communes mais qui se côtoyaient pour mon grand plaisir : il y eut
ainsi moineaux friquets, chardonnerets, mésange charbonnière,
verdier, pinsons des arbres et pinson du nord, tarins des aulnes,
bruant jaune, rouge-gorge et geai des chênes...
Rien que des espèces communes mais les plaisirs sont faits, aussi,
de temps à autre, de choses simples.
Michelle ,
<< Oiseaux de France et d'ailleurs ( 13 ) >>
Ebats amoureux des mouettes rieuses et patience du balbuzard pêcheur
MOUETTE RIEUSE
La mouette rieuse est un élégant oiseau aquatique et les deux sexes sont identiques.
L'adulte en plumage nuptial a le dos et le dessus des ailes gris clair. Les primaires externes sont blanches avec les extrémités noires. Le bord d'attaque est d'un blanc pur, mais il devient noir vers les primaires les plus externes. Le dessous des primaires est sombre.
La mouette rieuse a un capuchon brun-chocolat qui s'étend jusqu'à l'arrière de la partie auriculaire, et des croissants blancs autour de l'œil.
Les parties inférieures sont blanches, parfois teintées de rose sur la poitrine au printemps. La queue est blanche.
Le bec, les pattes et les doigts sont rouge noirâtre. Les yeux sont foncés.
L'adulte en plumage d'hiver a des taches sombres nettes en arrière des yeux. Le capuchon sombre disparaît après la saison nuptiale. On peut voir deux barres noires indistinctes en travers de la calotte. Le bec est rouge avec l'extrémité noire. Les pattes et les doigts sont rouges.
Le juvénile et l'immature n'ont pas de capuchon noir.
Comportements : La mouette rieuse est très grégaire en dehors de la période de reproduction. Elle se nourrit et dort en grands groupes. Cet oiseau est un opportuniste qui "nettoie" les villes et les plages, ou qui se nourrit dans les champs labourés. En effet, les groupes suivent la charrue et capturent des vers et d'autres invertébrés. Elle se nourrit aussi en marchant, en nageant, et en plongeant pour saisir des poissons en suivant des bateaux de pêche. Elle vole aussi au-dessus des flots et picore des insectes à la surface.
Quelques disputes peuvent se produire avec les voisins de nids, et la mouette rieuse adopte des postures spéciales. D'autres parades montrent l'oiseau dans des attitudes variées.
La mouette rieuse est monogame et fidèle au site du nid où elle revient chaque année. Elle peut former des colonies mixtes avec des sternes. La parade nuptiale est à son point culminant quand le mâle régurgite de la nourriture à la femelle. L'accouplement a lieu juste après.
LE BALBUZARD PECHEUR :
Le balbuzard pêcheur est un oiseau qui n'a son plumage d'adulte que vers ses 18 mois. Le dos est brun foncé, la poitrine, les joues, le cou, le front et le ventre sont blancs. Chez la femelle les rayures sont plus foncées et elle est plus grosse que le mâle.
Il est un des oiseaux les plus répandus dans le monde. Il vit sur les côtes, en bordure des lacs, des fleuves et des rivières.
Il ne se nourrit que de poisson. Il vole sur place et dès qu'il voit sa proie, il plonge du haut des airs et disparaît dans l'eau pour reparaître quelques instants plus tard avec un poisson qu'il tient dans ses serres.
C'est un oiseau d'une grande puissance quoique de la taille d'un petit aigle. Ses griffes sont tranchantes et ses serres vigoureuses. Il a une vue excellente et il chasse le jour.
Le balbuzard migre vers le sud, mais il s'accouple avant le départ pour revenir au même endroit le printemps suivant pour donner naissance aux petits. Pendant 5-6 semaines, la femelle couvera 3-4 oeufs. Ces petits n'atteindront la maturité sexuelle qu'à l'âge de 3-5 ans.
La survie de cet oiseau est menacée mais par contre, il est protégé.
La durée de vie du balbuzard pêcheur est de 18-20 ans.
<< Etangs de Brenne http://www.parc-naturel-brenne.fr/ >>
Le Parc Naturel Régional de la BRENNE
La Brenne, autrefois appelée "Petite Sologne", en raison du grand nombre de ses étangs, propose un environnement exceptionnel, où Flore et Faune s'épanouissent en pleine liberté.
Dans le secteur des "Mille Etangs" de la Brenne, vous découvrirez, dans un milieu protégé et composé de landes prairies forêts et étangs, loin des zones urbaines et de grand rendement, un nombre impressionnant d'espèces d'oiseaux, près de 270, qui trouvent, dans le Brenne, refuge et nourriture, au cours de leur vie ou de leur migration. La région de la Brenne est également propice à leur reproduction, point d'honneur et de fierté pour la région.
Parmi les différentes espèces vues en Brenne, il est bon de mentionner la Mouette rieuse, le Héron cendré, le Héron pourpré (l'Oiseau-Phénix en était la représentation), le Grèbe au cou noir, le Grand butor, la Guiffette moustac (elle vole sur place comme le faucon et l'on dit qu'elle fait le "Saint Esprit"), le Circaète Jean le Blanc (aigle de 1.80 m d'envergure), et une multitude d'espèces de canards (le Col vert, le Souchet à bec spatulé, le Fuligule Miloin, le Fuligule Morillon) parmi tant d'autres locataires intéressants de la Brenne.
<< La vie des étangs (1) >>
<< La vie des étangs (2) >>
Un étang de Sologne
La nature et l'imperméabilité du sol de la Sologne expliquent la présence de nombreux étangs (environ 3 200 qui représentent 11 500 hectares d'eau). Ils sont, pour la plupart, artificiels, car visant au développement de la pisciculture, de la reconstruction au lendemain de la guerre de Cent Ans à la « Rénovation », sous Napoléon III, de cette région marécageuse. Ils sont particulièrement concentrés près de Fontaines-en-Sologne et autour de Saint-Viâtre, cette dernière zone étant appelée la Sologne des étangs. Les plus importants dépassent 50 hectares (une dizaine dans ce cas). Le plus grand et le plus visité est l'Étang du Puits, situé à environ 60 km au sud-est d'Orléans, d'une superficie de 95 hectares (totalité du site 180 hectares), établi à la fin des années 1860 comme réservoir destiné à alimenter le canal de la Sauldre. Tous ces étangs ne datent pas du Moyen Âge, pourtant, c'est bien à cette époque que la plupart furent créés afin de faire disparaître les vastes marais qui s'étaient formés à la suite des déboisements intensifs. Aujourd'hui, ces étangs entretenus, mais sauvages, constituent des milieux naturels pour la faune et la flore.
La pêche en étang, en automne, est l'une des plus anciennes traditions de Sologne.
<< La vie des étangs (3) >>
Nouvelle série en Brenne avec parades de guifettes et accouplements :guifettes moustac-grèbes huppés
<< AG Versailles 4 septembre 2011 >>
L'invitation de François Parmentier était trop belle pour ne pas lui donner une suite!Les premières inquiétudes furent vite balayées et la décision fut prise.Par cette initiative,François permet à notre association de réparer un grand vide laissé par "Le Groupe Parisien" qui durant de nombreuses années a su animer la vie de nos berrichons,expatriés:une vie d'amitié,d'attachement très fort aux lieux,certes,mais surtout à leurs Maîtres,à leur enseignement et à l'éducation qu'ils reçurent dans les différents petits séminaires.Cette délocalisation lors de l'AG,un peu extraordinaire,va permettre à de nombreux anciens de pouvoir participer à une assemblée générale où il leur est souvent difficile de participer lorsqu'elles se passent dans le Berry.Les craintes initiales se sont évaporées car le nombre de participants déjà inscrits a atteint les limites requises pour une organisation optimale.Bravo et encore merci à François,notre hôte.
Jean-Claude Cazelisse
<< La vie des etangs-4 >>
Les étangs sont peu profonds, l'eau se renouvelle très faiblement, principalement par les eaux de pluies et de ruissellement. Les étangs sont de véritables capteurs solaires, ils redistribuent une énergie lumineuse nécessaire à la croissance des végétaux. Les eaux sont tempérées en surface et froides au fond, cette différence de température produit des courants thermiques qui oxygènent les eaux. Le fond est recouvert de vase, produite par les dépôts aquatiques (végétaux, minéraux, animaux), cette vase contribue à l'acidité des eaux. Tout un écosystème dépend des étangs, c'est un milieu unique et fragile, qu'il faut préserver. En effet, l'avenir des étangs est incertain, il est menacé par l'abandon des milieux ruraux, de la pollution, de l'envasement des berges, de l'assèchement, de l'acidité découlant des résineux, du développement des activités de plein air. Aujourd'hui, devenus peu rentables, les étangs se sont transformés en étangs de pêche ou de loisirs, ils contribuent, de par leurs intérêts écologiques et scientifiques, à une transmission du patrimoine. Ils sont le symbole de l'union de la nature et de l'homme !
<< Baie de somme Parc de Marquenterre >>
https://fr.wikipedia.org/wiki/Baie_de_Somme
http://www.baiedesomme.fr/lieu/1-14-parc-du-marquenterre
<< GUEDELON à Saint-Amand en Puisaye dans l'Yonne >>
l'aventure médiévale du XXIe siècle !
Au cœur de la Puisaye, dans l'Yonne, en Bourgogne, une cinquantaine d'oeuvriers relèvent un défi hors-norme : construire aujourd'hui un château fort selon les techniques et avec les matériaux utilisés au Moyen Âge.
La vue du chantier à l'automne 2014 - © Guédelon - Ph. D. Gliksman
Au milieu d'un espace naturel mettant à disposition toutes les matières premières nécessaires à la construction : pierre, bois, terre, sable, argile... des carriers, tailleurs de pierre, maçons, bûcherons, charpentiers, forgerons, tuiliers, charretières, cordier... bâtissent jour après jour un véritable château fort sous les yeux de milliers de visiteurs.
Quel que soit le créneau de réflexion retenu pour aborder ce chantier, Guédelon répond à bien des attentes de l'homme du XXIe siècle !
Guédelon est un chantier scientifique, historique, pédagogique, touristique et humain avant tout.
De saison en saison, les oeuvriers de Guédelon relèvent ce défi hors-norme. L'enceinte fortifiée, le logis et ses charpentes, la chambre et ses peintures murales, la cuisine et le cellier, les salles de tir et leurs imposantes voûtes d'ogives, une partie du chemin de ronde… ont été réalisés sous les yeux de milliers de visiteurs venus visiter ce chantier unique au monde.
Guédelon, construire pour comprendre
Les charpentiers de Guédelon - © Guédelon - Ph. F. Folcher
Qui ne s'est jamais interrogé en visitant un monument sur les techniques de construction des bâtisseurs médiévaux ? D'où venaient les matériaux ? Comment étaient-ils acheminés ? Quels outils étaient utilisés ? Par quels procédés les bâtisseurs montaient-ils les lourdes charges ?
Guédelon tente au quotidien d'apporter des réponses à toutes ces questions encore en suspens.
A l'heure où les maîtres mots sont nature et écologie, Guédelon est aussi un espace de construction où le Moyen Âge donne de nombreuses pistes pour les constructeurs verts de demain. Guédelon est un chantier précurseur : ils vous diront tout sur les murs en torchis, l'assemblage de moellons, les murs à la chaux, la fabrication des tuiles de terre ou de bois, l'emploi des pigments naturels, le tressage des cordes de lin ou de chanvre…
<< A l'approche du printemps 2017 >>
Réserve Naturelle Nationale de Chérine
SAINT-MICHEL-EN-BRENNE
La Réserve naturelle nationale de Chérine couvre une surface de presque 370ha. Elle étudie et protège les milieux naturels et les espèces qui y sont liées. Elle propose à ses visiteurs différents points d'observation ouvrant leurs fenêtre sur des paysages authentiques et de nombreuses espèces. Depuis sa création en 1985, la Réserve naturelle Nationale de Chérine s’applique à conserver son patrimoine naturel remarquable ou ordinaire. Pour se faire, elle entretient ses paysages par des actions adaptées (pâturage extensif, pisciculture sélective...) ; elle mène aussi des opérations de régulation des espèces exotiques envahissantes, ainsi que des activités pédagogiques et d’accueil du public. Les dernières acquisitions, réalisées grâce à ses partenaires historiques (Conseil Général de l’Indre, WWF-France, LPO) ont été intégrées au périmètre protégé de la Réserve Naturelle en septembre 2011, augmentant sa superficie de 145 à 370 ha. Ces nouveaux sites proposent d’ores et déjà des points d’observation, certains accessibles à tous les publics (chemins stabilisés, panneaux tactiles…).
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